seul...

C'est toujours le même schéma. Quand je suis seul chez moi, qu'il fait une chaleur écrasante, je retire mes affaires, branche le ventilateur et je fait une sieste.
Mais souvent...je sens cette envie qui monte dans mon ventre. Je sens ma queue durcir...j'essaye de la faire taire, je me tourne, me retourne...
Mes le souffle sur mon corps éveille mon envie.
Alors je commence a me caresser, j'attrape mes couilles dans le creux de ma main, me pince les seins, passe un doigt sur mon noeud, je me fait mouiller, je m'excite...et lentement, je commence ce léger mouvement qui me plait...et quand je sens ma sève sur le point de se liberer...je me laisse aller sur mon torse, je sens cette giclée sur mes poils...c'est chaud, c'est bon...
et bien souvent...après une douche rafraichissante...je m'endors

Plage

J'avais un peu de temps cet après midi. Je me suis dirigé vers cette plage naturiste et gay.
J'ai posé ma serviette assez loin de la foule, vers le fond, la ou la baignade n'est plus surveillée. J'ai oter mon tee shirt, baissé mon pantacourt et après quelques secondes d'hésitation...mon caleçon. Etrange sensation quand ce n'est pas une habitude. J'étais la, avec seulement la marque de mon short de bain. Ma queue blanche contrastant avec le reste de mon corps. Ce sentiment de liberté face à la mer....puis un sentiment d'excitation. J'ai sentis ma queue se durcir.
J'avais envie d'un homme. Je pouvais les voir plus loin dans les fourés. certains revenants le sourire aux lèvrès, le sexe éteint. Puis d'autres partant vers cette débauche. Je pouvais sentir ma serviette contre mon gland...mon cul face au ciel, je mattais ses hommes avec délectation.
Il faisait chaud, très chaud. Et malgré une rapide visite a mon tour pour trouver ce dont j'avais envie...je suis reparti bredouille de mon expédition. Bredouille mais excité par ce moment ou je me suis mis nu sur le sable brulant.

Images...

Pas besoin de commentaires....ils me plaisent

caricature

Samedi après midi
temps lourd, désirs, envies...Sauna !
Un physique comme une caricature...Le genre Italien/Espagnol, version années 70/80. Un torse velu, la chaine en or entre les poils bruns. Boucle d'oreille, cheveux mi long en arrière. Un Aldo Macionne de pacotille, entre 40 et 50 ans...
Après quelques regards...nous nous sommes frolés. Je ne le trouvais pas forcément attirant, mais plutot...décalé dans cet univers.
Et sa main a frolé mon sexe a travers ma serviette. Un geste doux.
Il est rentré dans une cabine...j'était derrière lui.
Nous avons échangé de longues caresses. Sa façon de me toucher ne cadrait pas du tout avec son côté "macho".
Nous avons baisé d'une façon que je ne pratique pas souvent. Avec douceur, tendresse et volupté. Son sexe avait un gout de gel douche, ses couilles, lourdes, pleines...son ventre, ses cuisses...ma langue a découvert son corps comme un explorateur...
J'ai terriblement aimer ce moment, et avec le recul, je pense que c'est moi qui avais besoin de douceur...
Je devais avoir quelqu'un d'autre en tête...