envie urgente...

deux beau mecs, des toilettes publiques...ça me plait !
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Les hommes préferent...

...Les grosses ! Oui ! J'ai pas honte de dire que pour moi, la taille est un élément déterminant dans une relation avec un homme. Trop petite, sans consistance et fine, je perd mes repaires. Je sais pas quoi faire avec, elle se perd en moi, j'ai l'impression de perdre mon temps. Je sais, je devrais pas être a ce point difficile. Mais je n'entretiens avec les hommes que des relations épistolaires. Je peux donc me le permettre. Je les préfères grosses et épaisses, sans tomber dans l'excès, une queue lourde qui tiens bien en main (voir deux mains). De celles qui se calent dans ma bouche et ne glissent pas sur mes carresses, celles qui se glissent le long de la jambe quand le mec est bien dur, celles que l'on regardent sous la douche avec envie...
un peu comme celle que j'ai eu dans ma main la semaine dernière...un très bon souvenir avec une ancienne "connaissance" retrouver par hasard sur un site de rencontre. Le hasard fait bien les choses, ma ça, c'est une autre histoire !

le dernier bouton...

Tu était la, face à moi dans le bus. regard ailleurs, dans tes pensées. Je ne pouvais m'empêcher de t'observer, qui était tu, ou allais tu ? Mes pensées était vers toi.
Et puis, naturellement, tu a ouvert tes jambes et posés ton sac à dos par terre. Tu portais un 501, je pouvais le voir en te détaillant, en regardant ce que tu me montrais sans le savoir, ce que je désirais sans que tu puisse le savoir. Ton entre-jambes était assez parlant, même sans que je puisse voir ta queue gonflée à l'intérieur, je pouvais voir la forme de tes couilles, certainement plaquées dans un boxer.
Sur tous les boutons de ta braguette, il y en avais un d'ouvert. était tu en retard ce matin, as tu été pisser avant de prendre ce bus ? Je pouvais t'imaginer enfilant ton jeans en te levant, faisant remonter la toile le long de tes jambes, ajustant ta bite et agrafant les boutons un par un...sauf un.
Toujours dans mes pensées, j'ai relevé les yeux...tu me regardais sans comprendre.
Et puis tu t'es lever pour descendre, et dans un geste d'une force érotique incroyable, tu a remis en place le dernier bouton...

amour chienne

Toujours la même envie...dimanche soir, 22h30. pas envie de sortir, fatigué...mais terriblement envie de sexe, terriblement envie d'avoir face à moi toute la virilité d'un homme, pouvoir détailler sa queue avant de tendre ma langue sur ce gland déjà humide, passant sur ce petit trou d'où tout a l'heure sortira cette semence. Prendre le temps de la regarder, cette fine peau qui se roule et se déroule, cette tige vivante, chaude, douce et dure, sa toison brune, épaisse, pénétrante que j'aime sentir sous mon nez quand je t'enfourne jusqu'a la racine. tes couilles qui semblent si fragiles, la peau presque translucide d'ou certains poils jaillissent, oublier par le rasoir. Ton vente et ton nombril, que j'aurais face a moi quand je te sucerais. La naissance de tes cuisses, musclées, poilues, solides. je peux voir la forme de ton cul si je me penche un peu, et j'y glisse ma main pour sentir combien tu aime me voir a genoux devant toi,...je veux être chienne, je veux être salope, je veux sentir sur mon visage l'éclaboussure de ta jouissance, je veux rester la devant toi, face a cette bite qui viens de cracher, toujours a genoux, tirant sur ma queue, mes yeux dans les tiens, pour jouir a mon tour, me cambrant vers l'arrière sur le carrelage froid, écartant les jambes devant toi pour que tu puisse voir mes couilles battres au rythme de ma branle, ouvrant ma bouche sur un râle profond, et je veux, quand mon sperme eclaboussera tes chaussures, voir un sourire sur tes lèvres...et la, je serais enfin heureux.

Mature

Il était la dans sa voiture, ne ne sais pas depuis quand. Derrière ses lunettes de soleil, je pouvais deviner l'intensité de son regard. Homme mature, la cinquantaine, l'allure jeune sans tombé dans l'excès. Je n'ai pas d'attirance particulière pour les hommes matures, et je l'ai laissé, sans le regarder. Je me suis diriger vers les chiottes, me disant qu'il n'y avais pas grand monde. Devant l'urinoir, presque machinalement, j'ai dégrafé les boutons de ma braguette pour pisser, lisant les grafitis pornos sur le mur.
Puis sans un bruit, il est arrivé, me surprenant...Il s'est installé juste à ma gauche, et son regard dans le mien, il a ouvert a son tour sa braguette. Sa queue était dure, pleine, magnifique... De grosses veines sur la tige, un gland humide, décalotté...Son sexe était une vraie perfection. Il m'a souris a nouveau, un sourire plein de promesses, un sourire qui disait "elle est pour toi". Il m'a pris par le bras, et dans un murmure a peine audible, il m'as dis "viens". Je l'ai suivi dans une cabine et j'ai fermé à clé.
Simplement, il m'a attrapé le visage et m'a embrassé. J'ai ouvert sa chemise sur un torse velu, bien entretenu, musclé même. J'ai pincer ses seins avec mes dents, très doucement, et j'ai senti qu'il aimer ça...je pouvais sentir sa queue contre moi, ce manche de chair orné d'une paire de couilles épilées et lourdes. Je le voulais en moi, je n'avais qu'une envie, c'est de lui donner du plaisir, avec ma bouche, avec ma langue, avec mes mains, avec mon cul même, si il le voulait. Cette homme avait quelque chose qui m'excitait comme jamais, une "aura". Sa bite était douce sous ma langue, et je prenait plaisir a l'enfourner complètement, jusqu'au fond de ma gorge presque jusqu'à l'étouffement. Il n'était pas en reste non plus, très entreprenant, très imaginatif. il m'a humidifier le cul avec sa langue, la glissant dans mon trou avant de mettre un doigt, puis deux avant de me lécher les couilles, et de me sucer avec délectation, prenant son temps, lubrifant mon noeud du bout de ses lèvres, me crachant sa salive sur la tige avant de la saisir a nouveau dans sa bouche. J'ai présenté ma queue entre ses fesses, la calant contre sa raie, son dos contre mon ventre, je m'astiquais à mon rythme.
Nous avons jouis ensemble en nous regardant, lâchant nos trainées de foutres sur le mur. Son visage était beau dans la jouissance...J'ai pris sa pine dans ma bouche pour avoir le gout de son jus sur ma langue, et lentement il a débander en moi...
Nous avons discuter un peu avant de nous séparer.
il avais 51 ans, et un corps magnifique...

Images

La promesse

l'éveil

le goût

le désir

la découverte

l'excitation

l'attente

la virilité

l'obession

l'exibition

la caresse

la soumission

Artistiques ou erotiques, porno ou amateur, toutes ses images nourrissent mes fantasmes et mes désirs...

coup de main

Connaitre un mec, ça commence souvent par une main qui se pose sur la fermeté d'une bosse. Quoi de plus excitant que ce moment juste "avant", moment sensuel ou je pose une main sur un tissu déformé par une érection prometteuse. Un slip tendu sous le plaisir, une braguette qui ne demande qu'a se baisser, je glisse ma main dans ton intimité et d'un geste sur, je sort cette bite qui m'obsède.

Air !

Ce matin, je le savais...j'aurais ce que je voulais aujourd'hui ! Le mardi, c'est le jour ou je suis le plus libre, pas de travail, rien à faire. J'avais prévu un après midi au sauna, mais j'avais pas envie d'attendre. J'ai pris la voiture et je suis aller a un air de repos pas très loin, pas mal fréquenté toute la journée par des touristes, des routiers et des mecs d'ici. J'ai pas eu a attendre, a peine garé, j'ai vu un mec, jeune, 20/25 ans, classe, pantalon noir, chaussures pointu, ni beau, ni moche, assez fin et petit. Je l'ai vu se diriger vers les fourrés, jettant des regards en arrière. Je l'ai suivi, pendant quelques instants, l'observant. Après un virage, je ne l'ai plus vu. Je me suis avancé un peu plus pour ne pas le perdre. Il était dans un coin, contre un arbre un peu a l'écart...pantalon sur les chevilles, slip blanc sur le geneoux...il bandait déja, et il se caresser les couilles en m'observant. J'ai trouvé cette image terriblement excitante et je me suis avance lentement, ouvrant un a un les boutons de ma chemise. Une fois a sa hauteur, je me suis agenouillé devant sa queue (taille correcte, couilles épilées, non circoncsis). Je l'ai attrapé dans ma bouche, usant de tout mon savoir pour lui donner du plaisir. l n'a pas voulu jouir et mon non plus, et nous sommes restés un long moment dans cet état d'excitation, offrant a nos langues juste le goût de cette perle de jus qui faisait briller nos glands. je lui ai demander de remettre son slip et son pantalon, pour le carresser a travers la toile. En me levant, j'ai vu que plusieurs mecs nous matait, bites à la main...j'ai passer un moment terriblement sensuel avec ce mec, très chaud et en même temps très tendre, et j'ai encore sur moi l'odeur de son corps...

Un nom comme une promesse !

Victor Banda.....ce bel espagnol "caliente" me fait pas mal fantasmer ! brun, viril, regard sombre, bien proportionné, il n'a qu'un défaut, il s'épile le torse ! Car me faite pas croire qu'un espagnol n'a que ça sur le torse !!!
Sinon, aujourd'hui, il fait pas beau...je vais au sauna...ça vous dis ?